Philosophisches Taschenwörterbuch:
Messie – Messias (Inhaltsangabe)

 




Dieser Artikel ist vielleicht der humorvollste des ganzen Werkes. Zunächst wird die Herkunft des Begriffs und was überall und in der Bibel über den Messias gesagt wurde, behandelt. Die Juden hofften auf einen Erlöser, den sie aber in Christus nicht erkannt haben…., mehr noch, es gibt Schriften wie den Sefer Toledot Jesu, die abscheuliche Geschichten über das Leben des Heilands erzählen.
Voltaire erzählt, welche das waren und geht dann zu den Geschichten derer über, die sich bisher als Messias (‚Gesalbter des Herrn‘) ausgegeben haben und teilweise viele Anhänger hinter sich sammelten, etwa Bar Kochba, Julian, Serenus, Ziegler, Sabbata Zewi, der ‚den Beruf des falschen Messias derart in Verruf brachte“, dass er der letzte gewesen ist, der auftrat.

Philosophisches Taschenwörterbuch:
Méchant – Böse (Inhaltsangabe)

 




Der Mensch soll, behaupten ‚Einige‘, von Natur aus böse sein und kann nur durch die Taufe ‚gereinigt‘ werden. Demnach ist der Rest der ungetauften Menschheit ‚eine Ansammlung von Ungeheuern‘. Das Gegenteil ist der Fall, man wird böse, so wie man krank wird. Im Übrigen ist die Mehrheit der Menschen viel zu beschäftigt, um böse zu sein. Voltaire: „Es bleiben folglich als wirkliche Bösewichter nur einige Politiker übrig, …die immerzu versuchen, die Welt in Unruhe zu versetzen.“

Philosophisches Taschenwörterbuch:
Lois civiles et ecclésiastiques – Staatliche und kirchliche Gesetze (Inhaltsangabe)

 




Dass sich die Kirche in die bürgerliche Gesetzgebung nicht einzumischen hat, geht aus 10 der 16 Maximen dieses Artikels zur Gesetzgebung klar hervor. In 6 von ihnen formuliert Voltaire allgemeine Grundsätze des Rechts, etwa diese bis heute gültige Forderung:
„Jedes Gesetz sollte klar sein, für alle gleich und exakt. Es auszulegen bedeutet fast immer, es zu verbiegen“.

Lois civiles et Ecclésiastiques – Staatliche und kirchliche Gesetze (Originaltext)

Wir geben hier den Artikel Lois civiles et ecclésiastiques – Staatliche und kirchliche Gesetze aus der ersten Ausgabe des Philosophischen Wörterbuchs von 1764 in französischer Sprache wieder.


On a trouvé dans les papiers d’un jurisconsulte ces notes, qui méritent peut-être un peu d’examen. Que jamais aucune loi ecclésiastique n’ait de force que lorsqu’elle aura la sanction expresse du gouvernement. C’est par ce moyen qu’Athènes et Rome n’eurent jamais de querelles religieuses.

Ces querelles sont le partage des nations barbares ou devenues barbares.

Que le magistrat seul puisse permettre ou prohiber le travail les jours de fête, parce qu’il n’appartient pas à des prêtres de défendre à des hommes de cultiver leurs champs.

Que tout ce qui concerne les mariages dépende uniquement du magistrat, et que les prêtres s’en tiennent à l’auguste fonction de les bénir.

Que le prêt à intérêt soit purement un objet de la loi civile, parce quelle seule préside au commerce.

Que tous les ecclésiastiques soient soumis en tous les cas au gouvernement, parce qu’ils sont sujets de l’État.

Que jamais on n’ait le ridicule honteux de payer à un prêtre étranger la première année du revenu d’une terre que des citoyens ont donnée à un prêtre concitoyen.

Qu’aucun prêtre ne puisse jamais ôter à un citoyen la moindre prérogative, sous prétexte que ce citoyen est pécheur, parce que le prêtre pécheur doit prier pour les pécheurs, et non les juger.

Que les magistrats, les laboureurs et les prêtres payent également les charges de l’État, parce que tous appartiennent également à l’État

Qu’il n’y ait qu’un poids, une mesure, une coutume.

Que les supplices des criminels soient utiles. Un homme pendu n’est bon à rien, et un homme condamné aux ouvrages publics sert encore la patrie, et est une leçon vivante.

Que toute loi soit claire, uniforme et précise: l’interpréter, c’est presque toujours la corrompre.

Que rien ne soit infâme que le vice.

Que les impôts ne soient jamais que proportionnels.

Que la loi ne soit jamais en contradiction avec l’usage: car si l’usage est bon, la lui ne vaut rien

Philosophisches Taschenwörterbuch:
Des Lois – Über die Gesetze (Inhaltsangabe)

 




Voltaire stellt in einer einführenden, herzerfrischenden Erzählung einen strenggläubigen Juden vor, einen Essener, der genauso gut ein katholischer Mönch sein könnte. Jedenfalls will dieser Mann weder sein Keuschheitsgelübde brechen, noch jemals lügen, nur so handeln, wie es in den Büchern Mose steht. Seine Strenggläubigkeit und Wahrheitsliebe bringt ihn an den Galgen. Andere Erzählungen zeigen, dass es Gesetze gibt, über deren Herkunft niemand etwas weiß, an die man sich aber, keiner weiß warum, trotzdem hält. Gerichte fällen willkürliche Urteile, hier gilt als Recht, was dort Unrecht ist. Woher kommen die Gesetze? Stammen sie aus der Gewalt dessen, der sie erlassen und durchsetzen kann? Gibt es aber trotzdem für alle gleiche Naturgesetze?
Würde das normale Volk Gesetze erlassen, könnte man sich schnell auf die wesentlichen einigen. Überall herrscht stattdessen Willkür und Unterdrückung.

Des Lois- Über die Gesetze (Originaltext)

Wir geben hier den Artikel Des lois – Über die Gesetze aus der ersten Ausgabe des Philosophischen Wörterbuchs von 1764 in französischer Sprache wieder.


Du temps de Vespasien et de Tite, pendant que les Romains éventraient les Juifs, un Israélite fort riche, qui ne voulait point être éventré, s’enfuit avec tout l’or qu’il avait gagné à son métier d’usurier, et emmena vers Éziongaber toute sa famille, qui consistait en sa vieille femme, un fils et une fille; il avait dans son train deux eunuques, dont l’un servait de cuisinier, l’autre était laboureur et vigneron. Un bon essénien, qui savait par coeur le Pentateuque, lui servait d’aumônier: tout cela s’embarqua dans le port d’Éziongaber, traversa la mer qu’on nomme Rouge, et qui ne l’est point, et entra dans le golfe Persique, pour aller chercher la terre d’Ophir, sans savoir où elle était. Vous croyez bien qu’il survint une horrible tempête, qui poussa la famille hébraïque vers les côtes des Indes; le vaisseau fit naufrage à une des îles Maldives, nommée aujourd’hui Padrabranca, laquelle était alors déserte.

Le vieux richard et la vieille se noyèrent; le fils, la fille, les deux eunuques et l’aumônier se sauvèrent; on tira comme on put quelques provisions du vaisseau, on bâtit de petites cabanes dans l’île, et on y vécut assez commodément. Vous savez que l’ile de Padrabranca est à cinq degrés de la ligne, et qu’on y trouve les plus gros cocos et les meilleurs ananas du monde; il était fort doux d’y vivre dans le temps qu’on égorgeait ailleurs le reste de la nation chérie: mais l’essénien pleurait en considérant que peut-être il ne restait plus qu’eux de Juifs sur la terre, et que la semence d’Abraham allait finir.

Il ne tient qu’à vous de la susciter, dit le jeune Juif; épousez ma soeur. — Je le voudrais bien, dit l’aumônier, mais la loi s’y oppose. Je suis essénien; j’ai fait voeu de ne me jamais marier: la loi porte qu’on doit accomplir son voeu; la race juive finira si elle veut, mais certainement je n’épouserai point votre soeur, toute jolie qu’elle est.

Mes deux eunuques ne peuvent pas lui faire d’enfants, reprit le Juif: je lui en ferai donc, s’il vous plaît, et ce sera vous qui bénirez le mariage.

J’aimerais mieux cent fois être éventré par les soldats romains, dit l’aumônier, que de servir à vous faire commettre un inceste: si c’était votre soeur de père, encore passe, la loi le permet; mais elle est votre soeur de mère, cela est abominalbe.

Je conçois bien, répondit le jeune homme, que ce serait un crime à Jérusalem, où je trouverais d’autres filles; mais dans l’île de Padrabranca, où je ne vois que des cocos, des ananas et des huîtres, je crois que la chose est très permise. Le Juif épousa donc sa soeur, et en eut une fille, malgré les protestations de l’essénien: ce fut l’unique fruit d’un mariage que l’un croyait très légitime, et l’autre abominable.

Au bout de quatorze ans, la mère mourut; le père dit à l’aumônier: Vous êtes-vous enfin défait de vos anciens préjugés? Voulez-vous épouser ma fille? — Dieu m’en préserve! Dit l’éssénien. — Oh bien! Je l’épouserai donc, moi, dit le père: il en sera ce qui pourra; mais je ne veux pas que la semence d’Abraham soit réduite à rien. L’essénien, épouvanté de cet horrible propos, ne voulut plus demeurer avec un homme qui manquait à la loi, et s’enfuit. Le nouveau marié avait beau lui crier: Demeurez, mon ami; j’observe la loi naturelle, je sers la patrie, n’abandonnez pas vos amis! L’autre le laissait crier, ayant toujours la loi dans la tête, et s’enfuit à la nage dans l’île voisine.

C’était la grand île d’Attole, très peuplée et très civilisée; dès qu’il aborda, on le fit esclave. Il apprit à balbutier la langue d’Attole; il se plaignit très amèrement le la façon inhospitalière dont on l’avait reçu; on lui dit que c’était la loi, et que depuis que l’île avait été sur le point d’être surprise par les habitants de celle d’Ada, on avait sagement réglé que tous les étrangers qui aborderaient dans Attole seraient mis en servitude. Ce ne peut être une loi, dit l’essénien, car elle n’est pas dans le Pentateuque; on lui répondit qu’elle était dans le Digeste du pays, et il demeura esclave: il avait heuresement un très bon maître fort riche, qui le traita bien, et auquel il s’attacha beaucoup.

Des assassins vinrent un jour pour tuer le maître et voler ses trésors; ils demandèrent aus esclaves s’il était à la maison, et s’il avait beaucoup d’argent. Nous vous jurons, dirent les esclaves, qu’il n’a point d’argent, et qu’il n’est point à la maison; mais l’essénien dit: La loi ne permet point de mentir; je vous jure qu’il est à la maison, et qu’il a beaucoup d’argent: ainsi le maître fut volé et tué. Les esclaves accusèrent l’essénien devant les juges d’avoir trahi son patron; l’essénien dit qu’il ne voulait mentir et qu’il ne mentirait pour rien au monde; et il fut pendu.

On me contait cette histoire et bien d’autres semblables dans le dernier voyage que je fis des Indes en France. Quand je fus arrivé, j’allai à Versailles pour quelques affaires: je vis passer une belle femme suivie de plusieurs belles femmes. Quelle est cette belle femme? dis-je à mon avocat en parlement, qui était venu avec moi; car j’avais un procès en parlement à Paris, pour mes habits qu’on m’avait faits aux Indes, et je voulais toujours avoir mon avocat à mes côtés. C’est la fille du roi, dit-il; elle est charmante et bienfaisante; c’est bien dommage que, dans aucun cas, elle ne puisse jamais être reine de France. — Quoi! lui dis-je, si on avait le malheur de perdre tous ses parents et les princes du sang (ce qu’à Dieu ne plaise!), elle ne pourrait hériter du royaume de son père? — Non, dit l’avocat, la loi salique s’y oppose formellement. — Et qui a fait cette loi salique? Dis-je à l’avocat. — Je n’en sais rien, dit-il; mais on prétend que chez un ancien peuple nommé les Saliens, qui ne savaient ni lire ni écrire, il y avait une loi écrite qui disait qu’en terre salique fille n’héritait pas d’un alleu; et cette loi a été adoptée en terre non salique. — Et moi, lui dis-je, je la casse; vous m’avez assuré que cette princesse est charmante et bienfaisante; donc elle aurait un droit incontestable à la couronne, si le malheur arrivait qu’il ne restât qu’elle du sang royal: ma mère a hérité de son père, et je veux que cette princesse hérite du sien.

Le lendemain mon procès fut jugé en une chambre du parlement, et je perdis tout d’une voix; mon avocat me dit que je l’aurais gagné tout d’une voix en une autre chambre. Voilà qui est bien comique, lui dis-je: ainsi donc chaque chambre, chaque loi. —Oui, dit-il, il y a vingt-cinq commentaires sur la coutume de Paris; c’est-à-dire, on a prouvé vingt-cinq fois que la coutume de Paris est équivoque; et s’il y avait vingt-cinq chambres de juges, il y aurait vingt-cinq jurisprudences différentes. Nous avons, continua-t-il, à quinze lieues de Paris, une province nommé Normandie, où vous auriez été tout autrement jugé qu’ici. Cela me donna envie de voir la Normandie. J’y allai avec un de mes frères: nous rencontrâmes à la primière auberge un jeune homme qui se désespérait; je lui demandai quelle était sa disgrâce, il me répondit que c’était d’avoir un frère aîné. Où est donc le grand malheur d’avoir un frère? Lui dis-je; mon frère est mon aîné, et nous vivons très bien ensemble. — Hélas! Monsieur, me dit-il, la loi donne tout ici aux aînés et ne laisse rien aux cadets. — Vous avez raison, lui dis-je, d’être fâché; chez nous on partage également; et quelquefois les frères ne s’en aiment pas mieux.

Ces petites aventures me firent faire de belles et profondes réflexions sur les lois, et je vis qu’il en est d’elles comme de nos vêtements; il m’a fallu porter un doliman à Constantinople, et un justaucorps à Paris.

Si toutes les lois humaines sont le convention, disait-je, il n’è a qu’à bien faire ses marchés. Les bourgeois de Delhi et d’Agra disent qu’ils ont fait un très mauvais marché avec Tamerlan: les bourgeois de Londres se félicitent d’avoir fait un très bon marché avec le roi Guillaume d’Orange. Un citoyen de Londres me disait un jour: C’est la nécessité qui fait les lois, et la force les fait observer. Je lui demandai si la force ne faisait pas aussi quelquefois des lois, et si Guillaume le bâtard et le conquérant ne leur avait pas donné des ordres sans faire de marché avec eux. Oui, dit-il, nous étions des boeufs alors; Guillaume nous mit un joug, et nous fit marcher à coups d’aiguillon; nous avons depuis été changés en hommes, mais les cornes nous sont restées, et nous en frappons quiconque veut nous faire labourer pour lui et non pas pour nous.

Plein de toutes ces réflexions, je me complaisais à penser qu’il y a une loi naturelle indépendante de toutes les conventions humaines: le fruit de mon travail doit être à moi; je dois honorer mon père et ma mère; je n’ai nul droit sur la vie de mon prochain, et mon prochain n’en a point sur la mienne, etc. Mais quand je songeai que, depuis Chodorlahomor, jusqu’à Mentzel(41), colonel des housards, chacun tue loyalement et pille son prochain avec une patente dans sa poche, je fus très affligé.

On me dit que parmi les voleurs il y avait des lois, et qu’il y en avait aussi à la guerre. Je demandai ce que c’était que ces lois de la guerre. C’est, me dit-on, de pendre un brave officier qui aura tenu dans un mauvais poste sans canon contre une armée royale; c’est de faire pendre un prisonnier, si on a pendu un des vôtres; c’est de mettre à feu et à sang les villages qui n’auront pas apporté toute leur subsistance au jour marqué, selon les ordres du gracieux souverain du voisinage. — Bon, dis-je, voilà l’Esprit des lois.

Après avoir été bien instruit, je découvris qu’il y a de sages lois par lesquelles un berger est condamné à neuf ans de galère pour avoir donné un peu de sel étranger à ses moutons. Mon voisin a été ruiné par un procès pour deux chênes qui lui appartenaient, qu’il avait fait couper dans son bois, parce qu’il n’avait pu observer une formalité qu’il n’avait pu connaître: sa femme est morte dans la misère, et son fils traîne une vie plus malheureuse. J’avoue que ces lois sont justes, quoique leur exécution soit un peu dure; mais je sais mauvais gré aux lois qui autorisent cent mille hommes à aller loyalement égorger cent mille voisins. Il m’a paru que la plupart des hommes ont reçu de la nature assez de sens commun pour faire des lois, mais que tout le monde n’a pas assez de justice pour faire de bonnes lois.

Assemblez d’un bout de la terre à l’autre les simples et tranquilles agriculteurs; ils conviendront tous aisément qu’il doit être permis de vendre à ses voisins l’excédant de son blé, et que la loi contraire est inhumaine et absurde; que les monnaies représentatives des denrées ne doivent pas être plus altérées que les fruits de la terre; qu’un père de famille doit être le maître chez soi; que la religion doit rassembler les hommes pour les unir, et non pour en faire des fanatiques et des persécuteurs; que ceux qui travaillent ne doivent pas se priver du fruit de leurs travaux pour en doter la superstition et l’oisiveté: ils feront en une heure trente lois de cette espèce, toutes utiles au genre humain.

Mais que Tamerlan arrive et subjugue l’Inde, alors vous ne verrez plus que des lois arbitraires. L’une accablera une province pour enrichir un publicain de Tamerlan; l’autre fera un crime de lèse-majesté d’avoir mal parlé de la maîtresse du premier valet de chambre d’un raïa; une troisième ravira la moitié de la récolte de l’agriculteur, et lui contestera le reste; il y aura enfin des lois par lesquelles un appariteur tartare viendra saisir vos enfants au berceau, fera du plus rubuste un soldat, et du plus faible un eunuque, et laissera le père et la mère sans secours et sans consolation.

Or lequel vaut le mieux d’être le chien de Tamerlan ou son sujet? Il est clair que la condition de son chien est fort supérieure

Philosophisches Taschenwörterbuch:
De la Liberté – Über die Freiheit (Inhaltsangabe)

 




A und B unterhalten sich über die Freiheit des menschlichen Willens und über die Frage, ob die Handlungen des Menschen aus freier eigener Entscheidung hervorgehen, oder durch diverse Einflussfaktoren bewirkt werden. A vertritt die These von der Determiniertheit des Willens, B vertritt die Willensfreiheit, wird aber am Schluss des Dialogs zumindest sehr unsicher.

Philosophisches Taschenwörterbuch:
Joseph – Josef (Inhaltsangabe)

 




Voltaire lobt die Geschichte von Josef als „eines der wertvollsten Zeugnisse der Antike“. Gleichwohl weist er auf einige orientalische Quellen hin, denen sich die Geschichte evtl. bediente – oder umgekehrt. Es finden sich einige Ungereimtheiten und es fehlt ihr hier und da an Logik, doch gleicht die Josefs-Erzählung einem epischen Gedicht.

Philosophisches Taschenwörterbuch:
Inondation – Überflutung (Inhaltsangabe)

 




Kann es sein, dass eine Sintlut, wie sie die Bibel berichtet jemals stattgefunden hat? Zwar hat das Meer sich früher durchaus höher befunden, wovon Muscheln in höheren Gesteinsschichten zeugen. Es ist aber unmöglich, dass die ganze Erde von Wasser bedeckt war. Damit reiht sich die Sintflut ein in eine Vielzahl von Wundern, über die in der Bibel berichtet wird, alle physikalisch unmöglich, aber wunderbar.